Introduction : La présence des substances psychoactives dans les eaux usées suscite une

inquiétude croissante dans de nombreux pays. 

Méthodologie : Cette communication met en

exergue les recherches menées à l’échelle mondiale sur les drogues d’abus et les produits

pharmaceutiques psychoactifs en tant que contaminants environnementaux, afin de sensibiliser

aux risques écologiques qui en découlent. 

Résultats et discussion : Les substances

psychoactives ont été identifiées et quantifiées dans les stations d’épuration (STEP) à travers

diverses régions du globe. Reconnues comme une nouvelle classe de polluants

environnementaux, elles font l’objet d’une attention accrue en raison de leurs répercussions

potentielles sur les écosystèmes. La présence persistante de ces résidus dans les effluents des

STEP représente une source non négligeable de pollution des cours d’eau, des rivières et des

lacs. Bien que leurs concentrations demeurent relativement faibles, leurs effets sur la faune et

la santé humaine ne sauraient être ignorés. Quant à leur élimination, de nombreux travaux

scientifiques ont évalué l’efficacité des technologies de traitement des eaux contaminées.

Toutefois, la pollution hydrique par ces substances psychoactives reste préoccupante et les

données écotoxicologiques, encore incomplètes, soulignent la nécessité d’investigations

approfondies. 

Conclusion : Les mécanismes toxiques sous-jacents ainsi que les stratégies

d’atténuation adaptées demeurent insuffisamment étudiés. Dès lors, des efforts de recherche

supplémentaires s’imposent afin de mieux comprendre ces enjeux, d’optimiser les procédés de

dépollution et de garantir la préservation des écosystèmes face à cette menace émergente.

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